Je suis vieux mais j’ai quand même un copain lycéen à Paris. Je l’ai rencontré un Quatorze Juillet justement, en Californie où je vis depuis déjà longtemps. Ugo a quinze ou seize ans. Il me dit par courriel qu’il lit Bakounine et Kropotkine. Cela me fait plaisir à deux titres. D’abord, cela signifie qu’il a échappé à la malédiction du relent de totalitarisme collectiviste qui […]
